Vide-pensée
30 Septembre 2018 , Rédigé par Clotilde Escalle
Il fallait un vide-grenier, comme un vide-pensée, de la misère en vente, du goût formaté. Plus de pièces de collection, mais des produits Ikea pour quelques euros, et des trophées de bêtes, de "l'art loisir". On ne cherche plus la bonne affaire. On attend simplement que le temps passe dans un faux accent de convivialité, dont on a désormais le secret. Et pour finir, un ou deux étals, comme autant d'intérieurs modestes à fouiller d'un regard distrait.